Bonsoir,
J’introduis en acclamant, haut et fort, que je ne suis ni homophobe ni intolérant à ce sujet.
Aujourd’hui, nous avons été introduits au cours sur Montaigne, éminent essayiste, sinon le père de l’essai, et on s’est entendu dire qu’il entretenait une relation peut-être plus qu’amicale avec La Boétie.
Après Rimbaud avec Verlaine, après Baudelaire et les dandys, nous voici avec l’initiateur de l’humanisme. Qu’est-ce que le cours de français essaye de nous communiquer? Qu’il est bon, pour un écrivain, d’être homosexuel, pour survivre à la postérité?
S’il suffisait de se faire tirer dessus par un homme des suites d’une dispute conjugale pour réussir à faire parler de soi 4 siècles après sa mort, je suis d’accord pour me prendre la balle. Après tout, ce n’est pas cher payé.
Je resterai toujours étonné de constater le succès de l’homosexualité à travers les époques. Pour ceux qui considèrent cela comme une maladie ou une insanité… C’est rapé. Et pour ceux qui pensent que ces tendances sont réservés aux dandys philosophes et non scientifiques, De Vinci vous contredirait.
Il ne manquerait plus qu’einstein.
A demain!
pour la Boetie et Montaigne, je ne sais pas... et ça casse un peu le mythe de la grande amitié...
RépondreSupprimerpar contre, tu peux citer Proust qui se vante de n'avoir jamais touché une fille