mercredi 10 novembre 2010

Peut-on rire de tout?

Ne m’en veuillez pas de poster si longtemps après mon dernier message.

Je voudrai reprendre le clavier (prendre la plume sonne un peu archaïque de nos jours) pour critiquer cette vidéo:

Quand la Belgique se moque de sa politique...

Cette vidéo reprend le débat là où il s’était arrêté à l’échelle multinationale: Peut-on rire de tout?.

Nous avons plusieurs réponses.

  • Non, il y a des sujets tabous. Pour certains, le vécu de certains exclut, voire interdit, l’utilisation de certains traits d’humour. Visées principalement: L’Holocauste, la Religion, la famine.
    Je pense que les gens qui se rangent dans cette réponse n’ont pas séparé l’humour et les mauvaises blagues qui sont proscrites par la loi. Il y a des blagues blessantes, qui ont l’ambition et la volonté de blesser.
  • On peut rire de tout, mais pas avec n’importe qui. Pour certains, il faut exclure de certaines blagues notamment les personnes concernées par cette blague. Outre l’aspect hypocrite de cette “sanction”, pourquoi les personnes visées ne bénéficieraient pas de la blague? Rire, c’est agréable et bon pour la santé.
  • Non, on ne peut pas rire de tout, on doit rire de tout. Pour moi, pour les gens qui font preuve d’autodérision, on encourage tout le monde à rire avec tout le monde.

Il est regrettable que certaines personnes se prennent encore tant au sérieux qu’ils ne savent pas rire de leurs problèmes. Tout peut devenir drôle si on les tourne bien. Pourquoi tout observer sous l’aspect dramatique? Cela ne résout rien.

J’ai envie de répondre à la blague de Mr Geluck. Je ne sais pas si c’est lui ou un autre qui a répondu ça, mais cela me semble parfaitement approprié.

“La moitié de la côte, ok, mais alors celle à marée basse”.

Riez-donc de moi.

jeudi 29 avril 2010

L’esprit critique et l’avis des autres

Il est une chose que j’admire, c’est l’esprit critique. Les gens capables de douter de tout, sans pour autant paraître suspicieux mais qui sont capables de se poser la question systématiquement, sont rares et précieux.

Il s’agit de personnes qui, à mon avis, savent ne s’intéresser qu’à leur idée. Ainsi, on verra plus souvent un esprit critique se montrer extrêmement docile envers une pratique et extrêmement critique envers une autre, selon ses choix. C’est ce qui le différenciera de la rébellion systématique qui, en soi, est conformiste pour une certaine tranche d’âge. Ainsi, on observe des gens capables de chanter en public sans se soucier de l’avis des autres. En effet, si seul mon opinion, et surtout mon observation, n’a d’importance à mes yeux, qu’importe l’avis des autres à propos de ma voix? Tout comme on critiquerait les filles que je fréquente, tant que je ne doute pas en ma sincérité, personne n’a à me critiquer car seul importe mon avis et mon observation.

Certaines fois, cela mène à une fermeture de soi, il me semble. Il existe des gens extrêmement critiques et rigoureux dans leurs informations qui finissent pas ne plus communiquer avec qui que ce soit, car quelque information que la personne pût lui apporter, celle-ci sera toujours vérifiable et observable par soi-même.

Donc en soi, l’esprit critique s’oppose un peu à la culture, car le vrai sceptique refusera tous les dogmes, y compris les valeurs et coutumes vernaculaires.

Bien que la plupart ne mélangent pas divertissement et dogmatisation, les plus intégrés des critiques se montreront toujours prudents face à la culture, car il y a toujours moyen de douter de son intégrité et de sa neutralité.

Si une des personnes concernées par cet article doit objecter un orateur à propos de politique, il ne saurait y répondre que par des observations liées à la culture, et donc montrer une ouverture dans sa critique pour permettre l’argumentation. Comment peut-on ne se baser que sur des observations, sinon de manière mathématique? Les scientifiques se basent sur des observations, en établissent des lois empiriques qui établissent d’autres lois découlant des premières. Mais l’homme engagé politiquement ne pourra jamais établir de schéma cartésien à propos de tel ou tel homme politique. Et il n’y a pas d’équation miracle pour expliquer comment fonctionne la politique.

Je vais voter cette année, étant donné les problèmes en Belgique. Je ne peux faire confiance en aucun tract électoral; car contient un mélange extrêmement complexe de mensonges, de fausses données statistiques, de programmes pas clairs. Les enjeux nationaux sont clairs, pourquoi personne n’expose-t-il ses idées clairement, mathématiquement?

Peut-être parce que c’est trop simple à comprendre pour des gens qui ont besoin d’entendre des mots compliqués pour se sentir rassurés.

dimanche 25 avril 2010

Concevoir

Une des notions qui divise le plus les humains est celle de l’infini. Vraisemblablement apporté par les “arabes” (sans vraiment savoir ce qu’arabe signifie ici), davantage un concept qu’un nombre, l’infini pose les bases de ce que j’appellerai ici l’ouverture.

Essayez d’expliquer l’univers à un enfant. Dites-lui qu’il s’étend à tout jamais, sans jamais ne connaître de fin. Il vous demandera, après quelques réflexions, “Mais… Il y a bien un mur à un moment?!” Bien des adultes vous diront la même chose. Bien entendu, il nous est actuellement impossible de trancher sur le sujet. L’univers est-il un rejet de trou noir, une particule élémentaire d’un univers qui nous contient ou un möbius en trois dimensions? Personne ne le sait. Mais chacune de ces hypothèses doivent rejeter le problème plus loin: le trou noir est bien contenu quelque part, l’univers qui nous contient est donc une particule élémentaire d’un autre univers plus grand encore, cela ne s’arrête jamais?, le möbius fait quelle taille et est contenu dans quoi?

La notion d’infini n’est en soi pas si grand; se dire que c’est grand, et que si on plaçait un chiffre qui en déterminerait la limite, il serait fatalement faux puisque le nombre est toujours plus grand, ne résout pas la question.

Pour ne plus devoir expliquer les phénomènes toujours plus loin, on a décidé d’arrêter les questions là où le nombre d’inconnues nous forçait d’émettre plus d’hypothèse que d’observations. Zeus était ainsi responsable du tonnerre, Morphée de la nuit. Plus tard, Dieu était responsable de la création du monde, et, au dessus flottait le paradis, en dessous gisait l’enfer. C’était si simple de dire sans concevoir!

C’est alors qu’apparu dans notre société un esprit surpuissant, capable de tout. L’esprit critique. L’esprit athée et curieux. L’esprit scientifique. Pour moi, la science veut dire se poser des questions, et non pas y répondre. Parce que répondre à une question n’est qu’une partie infime de la science.

La terre est ronde ou plate? On y a répondu: plate. La science se pose des questions; et si elle était ronde?

La terre est-elle au centre de l’univers? Oui. La science se pose des questions, même si elle sait que la terre est ronde on se demande à présent où elle se situe. Et si le soleil était au centre, plutôt?

Maintenant, on se demande dans quoi l’univers est contenu. Quand on le saura, on se demandera dans quoi est contenu ce qui contient l’univers. La science, c’est l’infini. Se poser des questions et ne jamais devoir s’arrêter. C’est le graal de la vie. La coupe en soi n’a guère d’intérêt, mais sa quête rend l’objet important.

mardi 6 avril 2010

Culture universelle

Je reviens du Maroc. Cela m’a ouvert l’esprit face à l’Islam. En effet, bien des occidentaux ne peuvent que constater les attentats et les problèmes liés à cette religion. Pourtant, bien des préceptes musulmans appellent à la tolérance, au pacifisme et au respect des autres. Il y a cependant un point avec lequel je suis toujours heurté: le respect de la Femme.

Cela m’a amené à m’interroger à propos de la validité d’une culture. Au delà de quels principes la culture peut-elle causer du tord à autrui? Par exemple, notre culture est davantage porté à l’égoïsme que la leur, et pourtant nos femmes sont considérées comme des égales, à une blague machiste près. Tandis que cette culture appelle au sourire, à l’ouverture, aux contacts physiques comme prendre un ami dans les bras, lui tenir la main, sans pour autant être homosexuel… Il s’agit d’une culture intensément plus chaleureuse que la nôtre. Et pourtant, une femme non voilée est une prostituée, une femme divorcée est à la rue et une femme porte les charges très lourdes.

Si on écarte la pauvreté, menant sans équivoque à des charges de travail plus étendues – les femmes travaillaient également dans nos régions à l’entre-deux Guerres – , rien n’explique, au niveau naturel, la volonté d’amoindrir la femme. S’il est évident que l’état marocain, dans sa volonté d’européanisation, cherche à contrevenir aux abus, comme en assurant une protection aux femmes divorcées, les mariages forcés sont encore largement de mise dans ce magnifique pays.

Alors pourquoi les femmes musulmanes de notre pays – éventuelles immigrées ou converties – se mettent-elles à porter le voile? Par choix?

Je suis étonné du succès de cette religion.

dimanche 21 mars 2010

Pour la démocratie!

Parlons un peu de ces fameuses “régionales”.

Soyons honnêtes, je fais gravement l’impasse sur cette histoire si peu intéressante; j’ai cependant noté le très faible taux de participation: 50%!
Peut-on toujours parler de démocratie dans ce cas là? J’en doute! Parce que dire que l’avis de tout le peuple est respecté, c’est un peu exagéré. C’est à se demander si la classe politique ne s’arrange pas pour désintéresser la populace normale à la politique, afin d’assurer à leurs militants le champ libre pour le vote ésotérique.

Le Pen est ravi du résultat de ces élections, c’est clairement le signe que ceux qui sont censés voter pour leur propre sécurité ne l’ont pas fait.

Enfin, comme vous pouvez le voir, si tout le monde votait, on assisterait non pas un pouvoir majoritaire mais un pouvoir partagé. C’est clair que le vote proportionnel n’est pas vraiment le meilleur système qui soit, mais le vote majoritaire à 50% de votants n’est guère meilleur. Comment un parti politique ayant obtenu la majorité parmi la moitié des citoyens peut avoir le même pouvoir que celui qui l’a obtenu parmi tous les citoyens?
Nous sommes là à la limite de la démocratie.

à bientôt.

jeudi 11 mars 2010

Subversions

Comme Paka le dit merveilleusement bien sur son blog durant plusieurs articles, la majeure partie des grands auteurs, inventeurs et scientifiques ont dû se heurter à leur propre défaut: la subversion. Il est important de savoir la conserver et la défendre, de la reconnaître importante. Sinon, on devra se résoudre à accepter le premier venu. La panique du peuple est l’absence de subversion, l’absence d’évolution. Personne pour briser l’obscurité qui s’épaissit autour de nous.

Je rêve de pouvoir prendre exemple sur tous les subversifs de l’Histoire.

 

 Denis Diderot, l’ encyclopédiste, embastillé  pendant cent jours pour ses subversions. Il est un des grands auteurs responsables de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, décrite à la Révolution Française, avec l’aide de Rousseau et Voltaire.

C’est donc un de ces hommes (tels que l’ont été Darwin, Freud, Newton, Copernic…) qui ont voulu faire avancer ce monde et qui se sont heurté à l’opinion générale.

Alors, où se situe le juste milieu lors des débats de nos jours? Doit-on se dire que tous les soucis nationaux ne sont que débats subversifs qui viseront à faire avancer le monde, mais que nous réfrénons à grand coup de conservatisme?

Ou sont-ce des retours vers le passé que nous refusons au nom de ces valeurs si durement gagnées?

mercredi 10 février 2010

Le peintre ou le peint?

victorhugo1

Ce soir, un ami cherchait l’inspiration, quêtant auprès de moi une idée de dessin. Ne me déplaçant jamais, moi non plus, sans mon égo, je l’invitai à me dessiner, moi. Il se moqua de moi, en disant que le dessin manquerait de valeur. Je lui dis, sur le ton de la rigolade bien entendu, qu’une image de moi n’avait pas de prix, qu’il le vendrait une fortune. Il me répondit habilement que c’est l’auteur qui fait ça.

Et non l’image.

Question existentielle chez l’artiste. Le peint ou le peintre? Qu’est-ce qui fait sa valeur?

Je me suis alors demandé si on peut juger, réellement, la valeur d’une œuvre par ce qu’elle représente. Je dois me rendre à l’évidence. Non, bien sûr. Bien des ouvrages ont de la valeur artistique sans dépeindre quoi que ce soit de précis. Certaines valent pour leur subversion à l’idée d’une œuvre. Pas d’image, pas de représenté, pas d’idée. C’est l’artiste qui peint et qui lâche ses couleurs au gré de ses assauts d’esprit. Ainsi il formera l’art dont la valeur est déterminé par l’artiste.

Je suis un peu subjugué de me dire qu’une image d’oiseau n’a pas le même impact – car c’est ainsi que j’évalue ce que j’appelle la “valeur” d’une œuvre, par son impact sur l’esprit artistique des gens, la capacité à faire évader l’esprit – selon la personne qui réalise. Admettons un peintre réaliste. Il réalisera un croquis digne d’un ornithologue. Alors qu’un surréaliste nous fera tout sauf un oiseau. Le tableau volera.

Mais admettons deux réalistes, ou deux surréalistes. Qu’est-ce qui diffère leur art? Les mots qu’ils emploient? La longueur des coups de crayon? Leur ponctuation? La façon d’appréhender les ombres?

Je conclus que oui, un artiste talentueux saura faire varier l’appréciation de celui qui regarde par son simple “feeling”.

 

Mais pour la photographie? Prenons deux photos du même paysage. L’un mettra l’horizon en oblique, l’autre droit. L’un règlera son appareil d’un façon, l’autre emploiera une autre configuration.  De combien de paramètres l’art dépend-t-il, finalement?

L’art est mort.

Francis Picabia défend cette idée comme si elle fût véridique. Il dit qu’il est le seul à n’en avoir pas hérité. Naturellement, je sais que son idée principale n’est pas que l’art est véritablement mort, mais je démarre de sa citation. Ce que je vais dire ne constitue donc pas en une critique de cet auteur.

Peu importe où il se situe par rapport à ça; il dit que l’Art est Mort, et je ne peux pas entendre ça sans me révolter intensément. Quel artiste oserait dire ça? Et quel amateur d’art oserait entendre une aberration pareille?

Faute de pouvoir jauger, calculer, mesurer l’art; faute de pouvoir évaluer le nombre de paramètres qui agissent sur l’Art, je peux dire une chose: Il y a autant d’arts que d’artistes. Je ne sais tellement pas dessiner, que si je dessinais, tout le monde trouverait ma réalisation hideuse. De cela, je peux conclure que mon “dessin” est subversif. Quoi de plus subversif que l’art? Je peux donc conclure que le plus hideux de mes dessins est artistique, par sa subversion.

Je pense qu’il en est autant pour tous les arts qu’on ait pu référencer, et ceux qui sortent tellement de l’ordinaire qu’il n’est pas imaginé. J’attend le jour où quelqu’un réalisera une œuvre qu’on ne pourra pas classer; il sera subversif au point de créer l’art de l’art: l’inventer les arts, en créer des nouveaux. On a commencé à l’art pictural (peinture/dessin), puis on a inventé la sculpture, vraisemblablement suivi de la musique, puis du lyrisme (littéraire/poétique/théâtral), puis, juste après avoir ajouté la photographie aux arts picturaux, les arts visuels animés, comme le cinéma.
J’aime mieux regrouper les arts ainsi:

  • Pictural: tout ce qui constitue une image fixe.
  • Matériel: tout art qui se définit ainsi par son aspect matériel: les sculptures (qui peut être pictural selon les cas), l’architecture…
  • Musical: car les sons se distingue des mots
  • Lyrique: la poésie, la littérature… l’émotion est dans les mots.
  • Visuel: Les arts qui déclenchent une réponse émotionnelle par les mouvements, comme le cinéma, la danse, parfois le théâtre.
  • Sensoriel: Les goûts, les odeurs et les températures, je trouvent, peuvent, à leur manière, être considérés comme des arts. Un peu comme le parfum, la cuisine…
  • Interactif: parce qu’il est important de constater que, certains arts le sont parce qu’ils permettent une interaction entre l’oeuvre et l’amateur. Et dans le cas où c’est cette interaction qui constitue une œuvre d’art, on pourrait la regrouper ici.

L’avantage avec cette classification, je trouve, c’est qu’elle ne confond pas le support avec l’impact. Le théâtre est un art, et peut regrouper l’ensemble des 7 arts que j’ai défini ici. De plus, elle est bien plus ouverte.

Je sais que ça n’avance à rien de rechercher une nouvelle classification. Mais elle me sert, à moi, pour essayer de cerner ce qu’est l’art. Et je vois bien qu’en divisant comme ceci, les 5 sens ne sont pas encore tous concernés. La chaleur en tant qu’art? Mais pourquoi pas? Ce serait tellement subversif! Tellement neuf!

Alors, l’Art est mort? Non, et elle ne le sera jamais. Il suffit que quelqu’un décide de considérer un objet comme artistique. Et envers et contre tout, ce sera de l’art. Il est absurde de vouloir imposer une rigueur à l’Art, parce que la rigueur impose des faits. L’imposition de faits empêche l’évolution. Et l’art, c’est aussi évoluer.

 

Mon prochain article portera sur la subversion.

dimanche 7 février 2010

L’Art Écolo

Photo0060 Enfin nous avons un exemple, une idée à suivre, un tracé sur le sol. Finis les humains sans buts, voguant tels des zombies sur Terre. Maintenant, une idée commune: écolo, écolo, écolo (parce que pognon).

Ce qui aide les mentalités.

  • Les diodes luminescentes (LED) fonctionnent avec 1W. C’est-à-dire entre 25 et 60 fois moins qu’une ampoule normale, selon que cette dernière soit économique ou pas. Leur durée de vie est infiniment plus longue.

EDIT: comme on me l’a fait remarquer par commentaire, les diodes photoélectriques produisent moins de lumière, et de la lumière plus froide que les ampoules normales. C’est certainement une excellente raison pour utiliser des ampoules 60W. La journée il fait jour chez moi, le soir une lumière blanche me suffit amplement, (même si chez moi les LED sont bel et bien jaunes…)

C’est un exemple. On a merveilleusement justifié l’idée écolo en s’achetant des principes peu chères qui profitent forcément à quelqu’un.

 

Au dernier sommet de Copenhague, la Chine, contrée arriérée de ce monde, a tout refusé d’un bloc. Parce que pour eux, investir dans la sauvegarde du monde n’est pas dans leurs principes. Egoïstes? Non. Le monde leur appartient. Ce n’est pas de l’égoïsme. Seulement, eux considèrent qu’arrêter de brûler 2330 millions de tonnes de charbon, c’est arrêter leur économie.

Chez nous, le monde est à l’arrêt, à cause des exportations d’entreprise.

Je suis en train de réaliser une étude portant sur l’éducation en Europe. Sommes-nous formés à diversifier nos entreprises, former des nouvelles technologies vertes? Non, pas trop. On est formés pour faire une “élite” mais personne ne sait de quoi.

Faites-moi parvenir vos photos.